Photos de mariages au Château
Au Château de Vallery, d’illustres photographes ont su immortaliser l’instant nuptial tout en flattant son cadre. Il faut reconnaître que l'image du château ornée de tulle est plus que convainquante pour ses médias. Car il n’est pas toujours évident de voir de belles photos de mariages au château et de retrouver sur celles-ci les multiples toiles de fond du site. Quelques talentueux photographes pensent parfois à nous faire part de leurs oeuvres avec le consentement des mariés. C’est ce que nous vous proposons de découvrir sur les deux galeries ci-dessous.
Photos de réceptions de mariage en extérieur
À Vallery parfois l’heure est au recueillement, dans une parfaite harmonie avec la nature lors des photos posées et des vidéos de mariage au château. Le sycomore aux sept troncs, connu jadis sous le nom d’arbre des méditations, se souvient ainsi d’avoir un jour accueilli dans ses ombrages une houppa fleurie, tel un dais éphémère suspendu à l’une de ses branches célestes.
Dans cet écrin de verdure, les buis et la charmille donnent le ton, sculptent le paysage. Des acteurs éblouissants, enivrants, éphémères, occupent cette scène tout au long de l’année. Ils naissent et se succèdent, portent les couleurs et les parfums du lys, du figuier, de l’églantier, de la clématite et de la lavande, du laurier, du chèvrefeuille, du jasmin et des roses trémières, de Damas, de Chypre, et de Marrakech.
Nombreux sont ici ces "théâtres de verdure" propices à l’apaisement de l’âme. Il peut s’agir des frondaisons de la roseraie, celle du verger qui cache en son sein deux cariatides de pierre et de mousse, de ces espaces au pied de Bouddha ou encore, du grand chêne quatre fois centenaire...
Perdue dans ces entrelacs, serpente la vigne sous le regard complice de Bacchus. De sa bouche jaillit une eau vive et transparente qui chemine dans les bassins du Château de Vallery, délicieux théâtre pour les photos de réceptions de mariage.
À l’emplacement-même de l’ancienne grange dîmière dont elle a hérité des murs : la Roseraie. Cette fascination pour les jardins clos remonte à l’époque médiévale. Depuis, les treillages de la galerie en berceau ont disparu, comme étouffés par la glycine.
Plus loin, un chapelet de petits jardins qui se succèdent comme autant de chefs-d’oeuvre ponctués de sculptures et hébergent jalousement des parterres de camélias, de rhododendrons, d’azalées, et d’hortensias : la closerie. L’on se plaît à déambuler dans les fragrances d’une végétation née de la terre de bruyère.